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Déroulement du cursus
5 années que vous ne verrez pas passer !
5 ans d’études pour un diplôme reconnu
Le diplôme d’ingénieur·e est un titre reconnu en France et à l’étranger qui équivaut au grade de master/bac+5. La formation peut être intégrée dès le baccalauréat dans les écoles d’ingénieur·e dites post-bac (5 ans d’études dans l’école), ou après un bac+2 (2 ou 3 ans de CPGE, BUT, licence, etc. + 3 ans dans l’école). Les élèves peuvent suivre leurs études sous le statut classique d’étudiant, ou bien dans certaines écoles effectuer la formation en apprentissage, c’est-à-dire à moitié dans l’école et à moitié dans une entreprise.
Des enseignements concrets liés aux enjeux de la société
La formation d’ingénieur·e combine des cours théoriques et des sessions pratiques centrées sur des projets concrets, le tout encadré par un corps enseignant qualifié. En plus des enseignements scientifiques et techniques, les cursus intègrent des cours transversaux en gestion de projet, communication, management, sciences humaines, responsabilité sociétale et environnementale, etc. Ces matières permettent de préparer les futur·es ingénieur·es à la pluralité des missions qui les attendent et aux grandes transitions sociétales à venir.
Des stages ou de l’alternance pour un premier pas dans le monde professionnel
La professionnalisation est au cœur du cursus ingénieur. Les projets en classe sont réalisés en lien avec des entreprises et les écoles proposent du coaching carrière, des forums entreprises, des rencontres de diplomé·es, etc. Pour les élèves sous statut étudiant, les stages sont obligatoires souvent dès la 1re année (28 semaines minimum sur l’ensemble de la formation) et les longs stages de fin d’études peuvent mener à l’embauche dans l’entreprise. Sous statut d’apprenti, les élèves partagent leur temps entre l’école et l’entreprise durant toutes leurs études.
21 % des élèves suivent leur formation en apprentissage
Une expérience incontournable à l’international
Le séjour à l’international, que ce soit sous forme d’échange académique ou de stage, est obligatoire dans la formation d’ingénieur·e (16 semaines minimum pour les étudiant·es, 9 semaines minimum pour les apprenti·es). Le pays d’échange dépend des partenariats internationaux de l’école. À l’issue de leur diplôme, les jeunes ingénieur·es acquièrent ainsi un très bon niveau d’anglais qui leur permet de travailler à l’étranger. Enfin, les écoles d’ingénieurs françaises accueillent de nombreux étudiant·es internationaux : en moyenne, 20 % des élèves viennent de l’étranger.
Top 3 des pays d’échange à l’étranger : Canada, États-Unis, Allemagne
Une vie étudiante riche et dynamique
Une des spécificités des écoles d’ingénieur·es est la richesse de leur vie de campus, qui est un complément important à la formation académique. Les associations étudiantes y sont très développées, avec la possibilité pour les élèves de rejoindre des clubs techniques, culturels, artistiques, humanitaires, sportifs, le plus souvent gérés par des étudiant·es. Sur les campus, les événements étudiants font aussi partie du quotidien : compétitions inter-écoles, projets solidaires, initiatives entrepreneuriales, etc.
29 associations étudiantes par école en moyenne
Le choix de travailler ou de poursuivre ses études après le diplôme
Une fois le diplôme d’ingénieur en poche, l’insertion professionnelle se fait généralement rapidement (96 % en emploi 4 mois après le diplôme) et durablement (88 % de CDI), avec de multiples débouchés selon la spécialité choisie. Il est également possible de poursuivre ses études pour compléter sa formation, avec un master supplémentaire par exemple, ou pour devenir ingénieur de recherche en faisant un doctorat (bac+8, c’est-à-dire 3 ans d’études supplémentaires).